////////// UN ÉVÉNEMENT Compétence Photo "M" ////////////////////

La Fontaine Obscure expose Hors les murs
Pour Voies Off à Arles pour les Rencontres de la Photographie 2017
Exposition collective / 2 lieux

Boutique de L’Olivier
(2 rond point des Arènes/ tous les jours de 10h à 19h)
Exposition du 3 au 16 juillet 2017
puis du 17 au 30 juillet
Vernissages les mercredi 5 et mardi 18 juillet à 18h30

Café Georges
(20 bd Clémenceau/ tous les jours de 10h à 23h)
Exposition du 3 au 30 juillet
Vernissages le vendredi 7 juillet à 18h30


L’association Fontaine Obscure expose à Arles à l’occasion du Festival Voies Off 2017, dans le cadre des Rencontres Photographique. 14 photographes présenteront leurs travaux :

A la Boutique de l’Olivier 1er quinzaine de juillet :

Brigitte Manoukian : « Maritza » Représentation d’objets tricoteurs de mémoire, supports d’un récit collectif et qui racontent leur propre histoire personnelle.
CO : Chaque prise de vue est une performance que je partage avec celles et ceux que je photographie. Le résultat, et non l'objectif, est une altération des corps entre ténèbres et rayonnement, où le fantasme, et la mise à nu, prévalent à toute forme de conceptualisation.
Ymy NIGRIS : Mon travail questionne l'homme et l'environnement et conte à travers l'expérience du paysage, les poèmes d'un animiste.
Patrick SEARLE : Ma vision créative agit sans relâche, m’intéressant à plusieurs types de médias et supports, afin d’enrichir mon expression artistique en partageant et en me confrontant aux regards des autres.

A la Boutique de l’Olivier 2ème quinzaine de juillet :

John BRONCE : j’inscris mon travail photographique sur la représentation du temps. Si une photographie vaut par ce qu’elle montre, elle interroge aussi sur le sens de ce qui n’est pas visible.
Guillaume DIMANCHE : Observateur de l’humain et de ses actions sur le paysage, mon travail utilise les outils digitaux pour la production de tableaux photographiques.
William GUILMAIN : Toucher du bout des rêves le(s) monde(s).
Antoine MERLET : Mon travail porte essentiellement sur les autres. Je suis interpellé par la nature humaine et très curieuse.
Elodie PIERRAT : J’utilise le médium photographique pour révéler la beauté de ce qui l’entoure, ses clichés se distinguent notamment par la poésie, l’émotion et la puissance de ses regards.

Au Café Georges du 03 au 30 juillet :

Eloïse BOLLACK : Mon projet documentaire est à la fois ethnographique et humanitaire ; il propose une investigation visuelle des transformations que ces communautés traversent, des enjeux qui les agitent et des espoirs qui les habitent au quotidien.
Patrice CLEMENT : La série « Face to Face » place le spectateur devant des paysages que l’on affectionne. Est-ce que les générations futures pourront les contempler ainsi, malgré les changements climatiques dues à notre façon de consommer ?
Ziad NAITADDI : Capter l’âme humaine en s’éloignant des personnages, physiquement parlant mais s’approchant d’eux émotionnellement en se servant de l’atmosphère, la lumière et le cadre et toutes ces choses pouvant profondément refléter leurs intérieurs.
Marie Padlewski : Mes yeux s’ouvrent face à ce qui s’invente et se défait sans cesse, pour saisir un moment qui fait sens jusque dans sa fugitivité ; il ne s’agit plus de regarder, mais de voir, d’être d’emblée aux choses.
Ottavio SELLITTI : Lorsque les différences externes sont évidentes, l’égalité qui existe parmi nous tous est plus intime et plus difficiles à saisir. Mon objectif est de la montrer.

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