Philip Provily, le photographe, et Joëlle Kem Lika, l’artiste peintre, reprennent leur dialogue.



Après leur vision partagée de la lumière dans l’exposition "Vibrations", ils posent leur regard sur la nudité de la femme.



Douceur, sensibilité pour le photographe, dynamisme, sensualité, fierté de sa féminité, pour la peintre, leurs regards se recoupent pour montrer des femmes charnelles, vivantes, porteuses de Pulsion de Vie.



Philip Provily mêle couleur et noir et blanc, figuratif et abstraction, réalisme et poésie.



De son coté Joëlle Kem Lika reprend le thème des surfeuses, cher à son cœur, symbole de la symbiose entre Energie Universelle et Energie Individuelle. Cette fois-ci, le moi-peau des surfeuses tatouées laisse la place au corps réel, charnel et sensuel.



Deux visions de la nudité, deux mondes, une même Energie.




Représentée dans des galeries à l'étranger, New York, Miami et Séoul de manière permanente, Rome, Londres, la peintre a créé deux galeries Joëlle Kem Lika en France : à Paris, en Bourgogne (près de Chablis) et un atelier à Lacanau Océan.